Non ! C'est mon dernier ver !
Un grand classique de la guerre psychologique, ce cri est généralement lancé dans l'espoir d'amadouer son adversaire. Avec un peu de chance, cela vous accordera quelques précieuses secondes de répit, voir quelques tours de complète tranquillité. Là où la manoeuvre devient réellement machiavélique, c'est bien entendu lorsqu'il s'agit d'un mensonge éhonté, et qu'il vous reste d'autres vers planqués dans les parages. Celui qui se laisse influencer par ce genre de suppliques a toutes les chances de se faire poignarder dans le dos au tour suivant. Un conseil aux âmes sensibles : pas de pitié !